Après s’être essayé à la comédie avec Josiane Balasko, Cartouche revient seul sur scène. Exit l’univers hip-hop de son premier one-man show scandé par les scratchs virtuoses de DJ Mao, le Billy Elliot du 93 semble atteint du syndrome Dubosc et nous fait le coup des relations hommes-femmes. L’histoire ? Lui est incapable de s’engager, elle adore les chansons de Marc Lavoine, le tout sur une bande son de film hollywoodien. Danseur et mime extraordinaire, Cartouche excelle à mouvoir son corps, à imprimer toutes sortes d’expressions loufoques à son visage, et fait mouche avec ses mimiques de séducteur ou ses éructations d’ados boutonneux. Dommage qu’il passe autant de temps à jaser sur des clichés amoureux…
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