Pour les téléphages, Bud incarnait Ramuntcho dans le Bigdil de Lagaf. Mauvais point certes, mais pourquoi ne pas lui donner sa chance ? Ce que l’on voit sur scène rappelle étrangement ses apparitions cathodiques, puisque le showman se dédouble en un accessoiriste benêt qui ne lâche pas sa flûte de Pan. Exactement comme Ramuntcho sa guitare, avec le même air idiot. Comique de répétition exploité à outrance et jeux de mots font la recette de ce spectacle qu’une ou deux parodies absurdes ne parviennent pas à sauver de la médiocrité. Lourdingue.